BIOGRAPHIE DU COMTE DE SAINT-GERMAIN
QUI ETAIT/EST SAINT-GERMAIN?
"Saint-Germain est une très, très ancienne énergie qui accompagne notre Terre et ses habitants depuis le début de cette Terre.
Un accompagnement que cette énergie offre depuis l'immatériel, comme énergie, et dans la matière, dans un corps humain.
C'est pourquoi nous avons pu entendre dans une de ses communications qu'il est depuis avant le début des temps et qu'il sera encore après la fin des temps. Il indique ainsi qu'il sera toujours.
De manière très humaine nous nous demandons régulièrement comment une telle énergie a reçu le nom de Saint-Germain, un nom sous lequel elle souhaite être entendue et connue, selon ses propres mots.
Un accompagnement que cette énergie offre depuis l'immatériel, comme énergie, et dans la matière, dans un corps humain.
C'est pourquoi nous avons pu entendre dans une de ses communications qu'il est depuis avant le début des temps et qu'il sera encore après la fin des temps. Il indique ainsi qu'il sera toujours.
De manière très humaine nous nous demandons régulièrement comment une telle énergie a reçu le nom de Saint-Germain, un nom sous lequel elle souhaite être entendue et connue, selon ses propres mots.
Pourquoi ce nom?
Pour pouvoir le comprendre, il est important de savoir que Saint-Germain, dans sa dernière incarnation totale, à savoir lors de son séjour matériel sur cette Terre, a choisi ce nom lui-même et en toute liberté.
Une incarnation dont un certain nombre de faits ont été conservés dans des livres d'histoire, des livres qui, après reconstruction du récit, parlent d'une vie exceptionnelle d'un homme exceptionnel.
Savoir ce que cette énergie a entrepris lors de sa dernière incarnation totale sur cette Terre la rend accessible à notre entendement, la rend plus approchable et peut-être aussi bien plus compréhensible.
Mais ce serait une erreur que de penser que nous ne parlons que de l’homme que nous avons pu connaître sous ce nom. Lorsque nous parlons de Saint-Germain, nous parlons de l’énergie totale qui a été connue sous de nombreux noms.
Une incarnation dont un certain nombre de faits ont été conservés dans des livres d'histoire, des livres qui, après reconstruction du récit, parlent d'une vie exceptionnelle d'un homme exceptionnel.
Savoir ce que cette énergie a entrepris lors de sa dernière incarnation totale sur cette Terre la rend accessible à notre entendement, la rend plus approchable et peut-être aussi bien plus compréhensible.
Mais ce serait une erreur que de penser que nous ne parlons que de l’homme que nous avons pu connaître sous ce nom. Lorsque nous parlons de Saint-Germain, nous parlons de l’énergie totale qui a été connue sous de nombreux noms.

Si nous regardons sa dernière incarnation totale sur cette Terre, nous voyons un homme qui est né en 1696, le 28 mai, comme fils de Frans II Rakoczy, souverain de Transylvanie, et de la princesse Amelie Charlotte von Hessen Rheinfels.
L’enfant reçut le nom de Leopold Georg.
En 1700, quatre ans après sa naissance, parce qu’il y avait des signes qu’il deviendrait le grand-duc du grand empire des Habsbourg, il fut remis à son oncle, Giovanni Gastone de Médicis, le duc de Toscane.
Dans le palais de la famille de Médicis, il fut élevé avec Carlos d’Espagne.
Aux environs de 1712, son oncle lui demande quel nom il souhaite prendre, et il choisit le nom San Germano. Mais, suivant le conseil de Giovanni, il change ce nom en Saint-Germain, en référence au Château Saint-Germain près de Paris.
En 1715, Saint-Germain quitte son environnement protégé et voyage au Mexique, en Turquie, en Perse et sur l’île de Malte.
A Rodosto (Turquie), il rend visite à son père, Franz II Rakoczy.
De 1723 à 1726, il séjourne principalement à Malte, Naples et Rome, mais en 1729 il retourne chez son père adoptif De Médicis qui depuis 1721 est le grand-duc de Toscane.
En 1731 il déménage à Paris, où le roi Louis XV met à sa disposition à vie le Château de Chambord au bord de la Loire. Louis XV fait aménager pour Saint-Germain le laboratoire des alchimistes afin qu'il puisse travailler.
1733 est l’année où Saint-Germain travaille aux plans pour le canal de Suez qui sera creusé plus tard.
En 1735, c’est la première fois, mais certainement pas la dernière, que Saint-Germain se rend aux Pays-Bas, où il prend part au congrès des Francs-Maçons à la Haye en tant qu’émissaire du roi français.
Lorsque nous regardons la manière dont Louis XV a offert un laboratoire d’alchimistes à Saint-Germain et l’a envoyé comme émissaire officiel à La Haye, nous savons que Louis XV était au courant de qui Saint-Germain était en réalité.
Il n’était pas inhabituel que Saint-Germain révèle clairement qui il était, surtout quand nous regardons (dans ce cas) l’importance de la France dans l’histoire mondiale de l’époque.
En révélant qui il était, Saint-Germain, dans son êtreté matérielle, obtenait la possibilité d’exercer une influence évidente sur les développements à l’époque et pendant les temps qui suivaient.
Entre 1741 et 1742, Saint-Germain est à Saint Petersburg pour être présent pendant le changement du trône russe, et pour accompagner ce changement.
En 1745, Saint-Germain séjourne pour la première fois à Londres afin de préparer déjà ce qui rapidement se trouverait sur son chemin.
En 1747, il accepte la mission du Roi de Sardaigne de se rendre à Vienne où il a des entretiens avec l’impératrice Marie Thérèse afin, avec son accord, d’avoir ensuite des entretiens avec le duc de Cumberland dans le but de mettre fin à la guerre qui avait alors lieu.
Cette même année, il travaille aux préparations pour conclure la paix. L’impératrice offre à Saint-Germain un portrait d'elle-même et une bague précieuse ainsi que la Croix Impériale à titre de remerciement pour ses services.
En 1748, c’est grâce au travail de Saint-Germain que la paix d’Aix-la-Chapelle est conclue.
Après 1748 commence une période turbulente dans la vie de Saint-Germain vu que beaucoup voient qu’il fait des « miracles », pas seulement comme alchimiste mais aussi comme diplomate de la paix dans une Europe qui était bien agitée à l’époque.
Entre 1759 et 1760, au Château de Chambord, il fabrique de manière artificielle des diamants pour le roi Louis XV et cette même année il entreprend pour la deuxième fois un voyage à La Haye pour y conduire des négociations de paix.
Amsterdam et La Haye sont les deux endroits où il séjourne le plus, mais le gouvernement néerlandais l’arrête à cause du fait qu’il ne tente pas de créer la paix pour une seule partie, mais qu’il s’investit pour la paix en général.
Aux yeux de l’émissaire français des affaires étrangères et aux yeux du gouvernement néerlandais, ceci peut uniquement être l’œuvre d’un multiple double agent.
Après son arrestation, Saint-Germain parvient à fuir La Haye et achète le domaine d’Ubbergen dans le Gelderland, où il se sait en sécurité.
A la fin de l’année 1760, une année turbulente pour Saint-Germain, il se rend en Angleterre où il travaille jusqu’en 1762 avec le Premier ministre Lord Stuart-But à des plans pour une paix européenne totale.
Pendant la révolution de palais en 1762, nous trouvons Saint-Germain à Saint Petersburg pour limiter les conséquences de cette révolution. La tsarine Catherine II le nomme général et lui donne le titre et nom de Comte Soltikow.
Entre 1762 et 1780, Saint-Germain voyage dans toute l’Europe, donne des conseils aux gouvernements et souverains, toujours avec le même but, s’efforcer d’atteindre la paix et d’améliorer les conditions de travail des populations.
Entre 1780 et 1782, Saint-Germain travaille avec Carl von Hessen, dans ce que l’on appelle la tour des alchimistes, à la préparation de colorants artificiels pour l’industrie de la céramique et du textile.
En 1784, le 27 février, Saint-Germain laisse son corps physique derrière lui sur cette Terre afin de pouvoir travailler au bien-être pour la Terre à partir de l’énergie subtile. Son corps est déposé dans le caveau de l’église Saint Nicolas à Eckernförde le 2 mars de cette même année.
L’enfant reçut le nom de Leopold Georg.
En 1700, quatre ans après sa naissance, parce qu’il y avait des signes qu’il deviendrait le grand-duc du grand empire des Habsbourg, il fut remis à son oncle, Giovanni Gastone de Médicis, le duc de Toscane.
Dans le palais de la famille de Médicis, il fut élevé avec Carlos d’Espagne.
Aux environs de 1712, son oncle lui demande quel nom il souhaite prendre, et il choisit le nom San Germano. Mais, suivant le conseil de Giovanni, il change ce nom en Saint-Germain, en référence au Château Saint-Germain près de Paris.
En 1715, Saint-Germain quitte son environnement protégé et voyage au Mexique, en Turquie, en Perse et sur l’île de Malte.
A Rodosto (Turquie), il rend visite à son père, Franz II Rakoczy.
De 1723 à 1726, il séjourne principalement à Malte, Naples et Rome, mais en 1729 il retourne chez son père adoptif De Médicis qui depuis 1721 est le grand-duc de Toscane.
En 1731 il déménage à Paris, où le roi Louis XV met à sa disposition à vie le Château de Chambord au bord de la Loire. Louis XV fait aménager pour Saint-Germain le laboratoire des alchimistes afin qu'il puisse travailler.
1733 est l’année où Saint-Germain travaille aux plans pour le canal de Suez qui sera creusé plus tard.
En 1735, c’est la première fois, mais certainement pas la dernière, que Saint-Germain se rend aux Pays-Bas, où il prend part au congrès des Francs-Maçons à la Haye en tant qu’émissaire du roi français.
Lorsque nous regardons la manière dont Louis XV a offert un laboratoire d’alchimistes à Saint-Germain et l’a envoyé comme émissaire officiel à La Haye, nous savons que Louis XV était au courant de qui Saint-Germain était en réalité.
Il n’était pas inhabituel que Saint-Germain révèle clairement qui il était, surtout quand nous regardons (dans ce cas) l’importance de la France dans l’histoire mondiale de l’époque.
En révélant qui il était, Saint-Germain, dans son êtreté matérielle, obtenait la possibilité d’exercer une influence évidente sur les développements à l’époque et pendant les temps qui suivaient.
Entre 1741 et 1742, Saint-Germain est à Saint Petersburg pour être présent pendant le changement du trône russe, et pour accompagner ce changement.
En 1745, Saint-Germain séjourne pour la première fois à Londres afin de préparer déjà ce qui rapidement se trouverait sur son chemin.
En 1747, il accepte la mission du Roi de Sardaigne de se rendre à Vienne où il a des entretiens avec l’impératrice Marie Thérèse afin, avec son accord, d’avoir ensuite des entretiens avec le duc de Cumberland dans le but de mettre fin à la guerre qui avait alors lieu.
Cette même année, il travaille aux préparations pour conclure la paix. L’impératrice offre à Saint-Germain un portrait d'elle-même et une bague précieuse ainsi que la Croix Impériale à titre de remerciement pour ses services.
En 1748, c’est grâce au travail de Saint-Germain que la paix d’Aix-la-Chapelle est conclue.
Après 1748 commence une période turbulente dans la vie de Saint-Germain vu que beaucoup voient qu’il fait des « miracles », pas seulement comme alchimiste mais aussi comme diplomate de la paix dans une Europe qui était bien agitée à l’époque.
Entre 1759 et 1760, au Château de Chambord, il fabrique de manière artificielle des diamants pour le roi Louis XV et cette même année il entreprend pour la deuxième fois un voyage à La Haye pour y conduire des négociations de paix.
Amsterdam et La Haye sont les deux endroits où il séjourne le plus, mais le gouvernement néerlandais l’arrête à cause du fait qu’il ne tente pas de créer la paix pour une seule partie, mais qu’il s’investit pour la paix en général.
Aux yeux de l’émissaire français des affaires étrangères et aux yeux du gouvernement néerlandais, ceci peut uniquement être l’œuvre d’un multiple double agent.
Après son arrestation, Saint-Germain parvient à fuir La Haye et achète le domaine d’Ubbergen dans le Gelderland, où il se sait en sécurité.
A la fin de l’année 1760, une année turbulente pour Saint-Germain, il se rend en Angleterre où il travaille jusqu’en 1762 avec le Premier ministre Lord Stuart-But à des plans pour une paix européenne totale.
Pendant la révolution de palais en 1762, nous trouvons Saint-Germain à Saint Petersburg pour limiter les conséquences de cette révolution. La tsarine Catherine II le nomme général et lui donne le titre et nom de Comte Soltikow.
Entre 1762 et 1780, Saint-Germain voyage dans toute l’Europe, donne des conseils aux gouvernements et souverains, toujours avec le même but, s’efforcer d’atteindre la paix et d’améliorer les conditions de travail des populations.
Entre 1780 et 1782, Saint-Germain travaille avec Carl von Hessen, dans ce que l’on appelle la tour des alchimistes, à la préparation de colorants artificiels pour l’industrie de la céramique et du textile.
En 1784, le 27 février, Saint-Germain laisse son corps physique derrière lui sur cette Terre afin de pouvoir travailler au bien-être pour la Terre à partir de l’énergie subtile. Son corps est déposé dans le caveau de l’église Saint Nicolas à Eckernförde le 2 mars de cette même année.
L'énergie
-Les quelques données ci-dessus sont seulement sommaires car il y a encore beaucoup et beaucoup plus à dire sur cette vie et sur le travail effectué, mais ceci dépasserait le but de ce résumé. L’intention de l’auteur de ces lignes est uniquement que le lecteur puisse se faire une idée de toutes les choses dans lesquelles Saint Germain a été impliqué.
Avant l’incarnation dont le nom "Saint-Germain" provient, cette énergie unique a connu un certain nombre d’autres incarnations dont les noms ne seront pas mentionnés ici.
Il est important de savoir que l’énergie, qui de nos jours désire encore se faire connaître sous le nom de "Saint-Germain", est active jusqu’à présent dans l’accompagnement de cette Terre et de ses habitants, afin de parvenir à un monde où, de notre plein gré, la liberté, l’égalité et la fraternité peuvent régner."
Avant l’incarnation dont le nom "Saint-Germain" provient, cette énergie unique a connu un certain nombre d’autres incarnations dont les noms ne seront pas mentionnés ici.
Il est important de savoir que l’énergie, qui de nos jours désire encore se faire connaître sous le nom de "Saint-Germain", est active jusqu’à présent dans l’accompagnement de cette Terre et de ses habitants, afin de parvenir à un monde où, de notre plein gré, la liberté, l’égalité et la fraternité peuvent régner."
André Molenaar