Chakra-Numérologie
  • Home
  • La Chakra-Numérologie
    • Cours de base
  • Historique
  • Ethique
  • Consultations
  • Pierres thérapeutiques
  • Livres et textes
    • Biographie d'André >
      • Biographie André 1955-1971
      • Biographie d'André Molenaar 1971-1980
      • Biographie d'André Molenaar 1980-1995
      • Biographie d'André Molenaar 1995-2001
      • Biographie d'André Molenaar 2001-2003
      • Biographie d'André Molenaar 2003-2006
      • Biographie d'André Molenaar 2007-2008
      • Biographie d'André Molenaar 2009
  • Qui sommes nous?
  • Le comte de Saint-Germain
  • Messages de Maître Saint-Germain
  • Réponses de Maître Saint-Germain
  • Message des pierres et méditations
  • Contact

ANDRE RACONTE ANDRE

Ci-dessous, vous trouverez la traduction d'une petite biographie qu'André avait publiée en néerlandais sur son site personnel.

Les premières années (de 1955 à 1971 première partie)

Il n'y a probablement rien de plus difficile que d'écrire sur soi-même, parce que certaines choses, vues de son propre point de vue (subjectif), sont trop ou pas assez mises en valeur. Je vais pourtant tenter d'être aussi objectif que possible en publiant une partie de ma propre histoire.

Le lecteur qui pense qu'il s'agit d'une description de "ma vie" risque d'être un peu déçu car je décris ici en fait une partie de ma vie avec Saint Germain. Une vie qui commence lorsque je suis un petit enfant (bien qu'à ce moment je ne me voie naturellement pas ainsi).

Avant de décrire ma première "rencontre" avec Saint Germain, une courte introduction à mes premières aventures. Mes parents et moi habitions à Utrecht, qui est d'ailleurs également la ville qui m'a vu naître. Dans les années 50, chaque foyer n'avait pas encore le privilège d'avoir son propre téléphone (nous n'avons reçu ce moyen de communication qu'au début des années 60). Jusqu'à ce moment, ma grand-mère appelait ma mère de temps en temps, mais pas de manière régulière, pour bavarder un moment et annoncer qu'elle allait passer. Elle appelait une voisine habitant en-dessous de chez nous qui possédait un téléphone, et celle-ci appelait ensuite ma mère.

Si j'étais à la maison, la voisine n'avait jamais besoin d'appeler ma mère car j'avertissais cette dernière que ma grand-mère allait l'appeler, chaque fois environ 5 minutes avant que ma grand-mère ne téléphone à la voisine du dessous. Au début, ma mère trouvait cela bizarre, mais comme je faisais d'autres prédictions à court terme, elle s'y est vite habituée. Mes parents ont accepté que j'étais "différent".

Peut-être que ce qualificatif de "différent" provenait également du fait que je voyais toutes sortes de "boules" colorées transparentes autour des gens et que j'étais exceptionnellement sensible à des états d'humeur imperceptibles. A cette même période, nous avions la télévision, un de ces exemplaires qui devaient d'abord chauffer. Aux Pays-Bas, il n'y avait qu'une seule chaîne, Nederland 1. Mes parents se sont fait beaucoup de soucis pour ma santé mentale quand je leur ai raconté que j'avais regardé la télévision en couleur pendant qu'ils étaient brièvement absents pour faire des courses. Ils m'ont dit que c'était impossible et qu'il n'existait pas de télévision en couleur. Pourtant je sais de manière certaine, encore au jour d'aujourd'hui, que j'ai vu le programme en question en couleur.

Un samedi après-midi, j'ai fabriqué un petit objet avec un bouchon de bouteille en métal, un aimant et quelques fils de métal. Mon père m'a demandé ce que c'était et je lui ai expliqué que la face intérieure du bouchon recevait les rayons du soleil, qui étaient convertis en courant électrique à l'intérieur de l'aimant, et que le courant sortait ensuite par les fils. (Pensez que j'avais environ 5 ans et qu'à l'époque il n'était pas encore question d'énergie solaire). Mon père secoua la tête et me dit qu'il était impossible de faire de l'électricité à partir de la lumière du soleil.

Le moment le plus important de cette période est probablement celui où j'ai été renversé par une voiture. Mes parents étaient en train de sortir leurs vélos du garage car ils allaient faire des courses en mettant ma petite personne dans le siège pour enfant. Je courais dans la rue sans faire attention car dans la rue où j'habitais, les voitures étaient encore rares (il y en avait en tout 1). Comme indiqué, je courais dans la rue sans faire attention, et le moment suivant tout était noir. Après coup, il est devenu clair que j'avais été heurté de plein fouet par précisément l'unique voiture de notre rue. Il y eut une grande commotion jusqu'à ce que la victime (moi, donc), redevienne consciente. J'avais seulement une petite lésion au pouce, et absolument aucun autre signe indiquant que j'avais eu cet accident. Le chauffeur de la voiture en question déclara que c'était impossible car il avait senti le choc et pendant la première minute après l'accident n'avait pas osé sortir de sa voiture, car il était convaincu que la victime devait être gravement blessée, ou pire.

Au début des années 60, nous avons déménagé à Culemborg, une petite ville charmante au bord de la rivière Lek, dans la région appelé la Betuwe.

Je me suis retrouvé à l'école primaire publique et j'étais le premier "étranger", le seul enfant parlant le hollandais conventionnel au milieu d'élèves parlant uniquement le dialecte local. Ce fut le début d'une période de solitude sociale. M'intégrer dans ma classe s'avéra quasiment impossible. C'est pourquoi je consacrais mon temps libre surtout à me promener dans la nature, et ceci non sans raison. Chaque jour, j'allais à l'école en marchant depuis le quartier périphérique dans lequel j'habitais et qui était encore en construction, jusqu'à mon école primaire dans le centre ancien de la ville. Au cours de cette promenade, j'empruntais toujours un sentier le long du "Mer", qui était à l'époque un petit cours d'eau entre Culembord et Tricht (de nos jours c'est une sorte de fossé).

A un certain moment, j'entendis que l'on appelait mon nom: "André". Etonné, je me suis retourné, mais je n'ai vu personne. Peut-être que je m'étais trompé, ou que j'avais mal entendu. Je continuai mon chemin. A nouveau j'entendis la voix: "André". Je regardai à nouveau autour de moi et marchai en direction des roseaux au bord de l'eau parce que je croyais que quelqu'un me faisait une farce. A nouveau, "André". Je réagis en disant à haute voix: "oui, qui est là?". "Tu ne peux pas me voir, mais je suis bien là, ainsi que je l'ai toujours été."

Jeune comme j'étais (j'avais alors 8 ans), j'ai pensé que mes camarades d'école avaient raison et que j'étais en effet "fou".

Un dialogue s'en suivit où dans mes perceptions j'entendais "la voix" à l'extérieur de moi-même et je lui répondais ou posais des questions à haute voix. Ce serait aller trop loin ici que de rapporter toute notre discussion, mais l'important est ce qui suit: "veux-tu apprendre? Apprendre à connaître les secrets de l'univers? Veux-tu savoir pourquoi les choses sont telles qu'elles le sont? Je peux t'enseigner les plus grands secrets sur cette terre. Je peux t'enseigner plus que tout ce que toute personne a appris dans le passé. Tout ce que tu dois faire, c'est avoir confiance en moi."

Ma décision était immédiatement claire. Oui, je veux apprendre. Oui, je veux connaître les secrets, mais ... Tout ce que je demandais était une preuve, une preuve indiquant que je n'étais pas "fou" et que ce qui m'arrivait, ce que j'entendais, était réel. "Lorsque tu auras 12 ans, je te prouverai que tout ce que je t'ai enseigné jusque-là était vrai, aussi vrai que l'est mon existence. Jusqu'à ce moment, tu devras t'exercer à avoir de la patience et de la confiance, deux qualités qui renforcent un esprit sans préjugés." Ouah, des mots difficiles, mais ils me semblaient familiers et je les comprenais, pas tellement avec mon cerveau, mais profondément en moi-même.

Les quatre années qui suivirent furent fantastiques. J'ai passé beaucoup d'heures dans les champs et les francs bords aux alentours de Culemborg, de nombreuses heures qui désespéraient parfois mes parents car j'étais toujours en route. Dès que possible, je circulais à vélo à travers la Betuwe, mais aussi à Bois-le-Duc, Schoonhoven ou Wijk bij Duurstede.

Quatre années où j'ai pu apprendre énormément, des choses auxquelles une personne "normale" n'a pas accès durant sa vie entière.

La nuit, j'ai appris à sortir de mon corps, j'ai appris comment je pouvais voyager à travers le temps et l'espace. J'ai appris à méditer, j'ai appris comment je pouvais regarder à l'intérieur de moi-même pour percevoir les fonctions de la vie. Le contexte et la signification des "Sciences Sacrées". De jour, j'apprenais à connaître les plantes médicinales et comment les utiliser, quelles pierres servent quel but, et comment elles étaient utilisées dans les temps anciens. Plus tard, j'ai appris à sortir de mon corps quand j'étais avec d'autres personnes, pendant les fêtes d'anniversaire. J'étais "suspendu" dans un angle de la pièce. On me montra comment un arbre grandit, de la graine jusqu'à l'âge adulte (en 5 minutes). Ce qu'est l'énergie de vie, comment elle peut être utilisée, ce que sont l'abus et la bonne utilisation de cette énergie. J'ai appris comment concentrer les forces, et comment utiliser ces forces concentrées.

Et aussi la signification du champ énergétique matériel et du champ énergétique subtil de l'être humain, l'importance des chakras (pour mémoire, nous n'étions même pas encore en 1967). Les points communs et les différences entre la magie et l'alchimie.

Le grenier chez mes parents était plein de plantes que j'avais mises à sécher. Ma chambre se remplissait de toutes sortes de pierres, et comme je recevais les premières connaissances de l'alchimie, il y avait un certain nombre de flacons sur mon armoire dont le contenu, aux yeux de mes parents, était extrêmement douteux.


(Accès à la deuxième partie des années 1955-1971)
(c) Tous droits réservés 2021 - Sabrina Kaytar - Chakra-Numérologie -
​Chambre de Commerce des Pays-Bas no 63556936
Politique de confidentialité