MESSAGE DE SAINT GERMAIN
du 11 mars 1999 (1ère partie)
Mon nom est Saint Germain. C'est sous ce nom que je suis connu et que je souhaite être connu.
Frères et Sœurs, bienvenue.
Saint Germain
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Pendant ma dernière incarnation vous m'avez connu comme Saint Germain, un nom que j'ai moi-même choisi.
Je suis connu sous de nombreux, nombreux noms vu que je suis depuis longtemps auprès de votre Terre. On me connaît également sous le nom de Maître de la Flamme Violette, et c'est aussi ainsi que je souhaite être connu. Mon but, à travers tous les temps, est de vous apporter la Lumière et l'Amour. |
L'élixir de vie
L'alchimie |
Pendant ma dernière incarnation sur cette Terre, j'ai séjourné dans diverses cours royales dans ce que vous connaissez comme votre Europe.
Je me suis efforcé d'y apporter ce que vous connaissez comme l'élixir de vie. C'est pourquoi je suis également connu comme ce que vous appelez un alchimiste. Mais l'élixir de vie n'est rien d'autre qu'une transformation de votre existence duelle, votre existence qui consiste en des oppositions. L'élixir de vie tant désiré n'est rien d'autre qu'être conscient. A l'époque cela n'avait pas été compris. C'est pourquoi je vous demande maintenant de le comprendre. |
Notre nature divine
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Le secret de votre vie n'est rien d'autre que la conscience de votre nature divine.
Si vous êtes conscients de la source, du cœur spirituel, alors vous êtes également en état de passer par la transformation. Ce que j'ai tenté dans les cours de votre Europe est d'apporter cette conscience, sachant que si cela était compris là, cela serait compris plus largement. Mais on n'a jamais souhaité comprendre cela dans sa totalité. Votre vie est une vie que vous mesurez en années. Pourtant vous ne connaissez jamais vos années. Vous mesurez vos années à partir de votre soleil et vous vous sentez grands dans le nombre d'années qui vous sont données. Il y a 2000 ans déjà, des messages vous ont été donnés par celui que vous connaissez de nos jours comme Jésus. De manière répétée, il a dit: que celui qui a des oreilles entende. |
Un grain de sable
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Votre Terre n'est rien de plus qu'un grain de sable dans cet Univers. Et vous choisissez quand même d'avoir des frontières et vos propres territoires.
Vous ne semblez pas réaliser que votre Terre est toute petite. Vous ne semblez pas réaliser que votre temps est limité. Vous ne semblez pas réaliser que dans des réincarnations, vous êtes chaque fois confrontés à nouveau à vos propres peurs de ce qui vous est étranger. |
L'Amour
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A partir de l'Amour, de l'Amour qui vous est donné, de l'Amour qui vous est propre, de l'Amour qui est en vous, de l'Amour que vous êtes, vous ne devriez pas vous accrocher aux frontières et autres barricades que vous élevez simplement par peur.
Si vous pouvez sentir l'Amour, la plénitude pour vous-même, si vous percevez la Lumière en vous, alors vous pouvez et devez également percevoir la Lumière, la plénitude et la beauté dans votre prochain. Votre prochain est votre égal, vous êtes votre prochain. A partir de votre système de mesure, votre Terre vous semble énorme. Pourtant, de mon point de vue, votre Terre n'est qu'un grain de sable. J'entoure votre Terre d'Amour encore et encore, mais vous ne semblez pas le sentir. Vous commettez sans cesse des délits contre vos frères et sœurs. Depuis déjà des milliers d'années vous commettez ces délits et vous ne semblez toujours pas avoir appris votre leçon. |
L'Acceptation
La réincarnation |
Si vous parvenez à une totale acceptation de votre propre existence et de votre origine de la Lumière Divine, vous pouvez casser le cycle de vos réincarnations pour retourner vers ce qui vous a envoyés.
Ce cycle peut être interrompu si vous aimez votre prochain comme vous-mêmes, ainsi que cela vous a déjà souvent été dit. Vous pouvez briser ce cycle si vous pouvez respecter et/ou accepter l'autre dans son êtreté. |
Le paradis
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Ce n'est qu'à ce moment-là que votre Terre pourra être ce pour quoi cette Terre existe, votre propre paradis.
Votre propre Jardin d'Eden. |
L'unité
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Votre tâche en tant qu'humanité est d'arriver à la réalisation que tout est "un", provient du "un" et retournera ultimement vers le "un".
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