REPONSES DE MAÎTRE SAINT GERMAIN
QUESTIONS SUR LE STRESS ET LA VIOLENCE
(Traduit du néerlandais)
La source du stress ?
D'où viennent le stress, l'agitation, les tensions, en ces temps actuels ? [Année 2000]
Le stress, l'agitation, les tensions, sont des données que vous vous imposez.
Le stress est votre insatisfaction.
Le stress est le fait que vous avez de la peine à rester vous-mêmes.
Votre société se trouve à nouveau à un point où de grands changements peuvent prendre place. De grands changements, si vous en êtes vous-mêmes conscients.
Mais si vous décidez que la matière, à laquelle vous êtes tant attachés, est plus importante dans cette incarnation ou réincarnation, plus importante que la pureté de votre êtreté d'âme, vous vous retrouverez dans une spirale de stress et de tensions qui tournera de plus en plus rapidement.
C'est un choix que vous faites dans cette société, sachant que vous êtes cette société.
Le stress que vous ressentez est un malaise en vous-même.
Le stress que vous ressentez est le fait que vous pensez ne pas pouvoir satisfaire à ce que la société vous demande.
Le stress en vous vient du fait que vous tentez de devenir un avec la société que vous avez vous-mêmes créée. Une société qui va se développer de plus en plus rapidement et finalement parviendra à un arrêt où le stress sera le facteur qui manque.
La société vous met devant un choix.
Vous pouvez vous-même mettre la société devant un choix.
Vous pouvez dire, vous pouvez sentir et ressentir que ce qui vous a donné du stress est un choix que l'on pourrait définir comme pas très heureux pour votre existence physique.
Si vous courrez après les choses matérielles, si vous courrez après la matière, ultimement la matière vous liera. Lorsque la matière vous aura lié, votre partie d'âme pourra certainement exercer une influence. Comme votre partie d'âme sait que le manque de liberté forme une entrave dans votre êtreté physique, vous aurez à nouveau du stress.
Choisissez le bien supérieur en vous, un bien supérieur dans lequel la matière est précisément ce qu'il est prévu que la matière soit, un instrument d'aide. Mais si vous faites de cet instrument d'aide un instrument principal, vous courrez toujours après ce que vous ne trouverez jamais.
Votre société court après des choses qu'elle ne trouvera jamais et là où seul le stress peut être la résultante.
Ressentez le calme en vous, vivez l'Amour, la Paix et la Lumière. Choisissez des points de repos, choisissez des moments que vous connaissez comme des moments de méditation. Choisissez les moments où vous pouvez réellement être vous-même avec vos prochains.
Si vous abordez autrui à partir de votre calme intérieur, de votre amour, chaleur et lumière intérieurs, vous remarquerez que l'autre le reconnaît, et de cette manière vous pouvez apaiser le stress en vous.
De cette manière vous pouvez faire de la rapidité une rapidité qui vous convient.
Sachez pourtant que si vous continuez dans cette spirale, un moment viendra où la fin de cette spirale sera en vue.
Sachez que le chemin de la rapidité et du stress est un chemin fatal.
Le chemin vers votre intériorité, où la matière devient un instrument d'aide, le chemin vers votre propre lumière, est l'unique chemin que vous devriez pouvoir prendre et où vous pouvez sentir que vous êtes en paix avec vous-même.
Le stress, l'agitation, les tensions, sont des données que vous vous imposez.
Le stress est votre insatisfaction.
Le stress est le fait que vous avez de la peine à rester vous-mêmes.
Votre société se trouve à nouveau à un point où de grands changements peuvent prendre place. De grands changements, si vous en êtes vous-mêmes conscients.
Mais si vous décidez que la matière, à laquelle vous êtes tant attachés, est plus importante dans cette incarnation ou réincarnation, plus importante que la pureté de votre êtreté d'âme, vous vous retrouverez dans une spirale de stress et de tensions qui tournera de plus en plus rapidement.
C'est un choix que vous faites dans cette société, sachant que vous êtes cette société.
Le stress que vous ressentez est un malaise en vous-même.
Le stress que vous ressentez est le fait que vous pensez ne pas pouvoir satisfaire à ce que la société vous demande.
Le stress en vous vient du fait que vous tentez de devenir un avec la société que vous avez vous-mêmes créée. Une société qui va se développer de plus en plus rapidement et finalement parviendra à un arrêt où le stress sera le facteur qui manque.
La société vous met devant un choix.
Vous pouvez vous-même mettre la société devant un choix.
Vous pouvez dire, vous pouvez sentir et ressentir que ce qui vous a donné du stress est un choix que l'on pourrait définir comme pas très heureux pour votre existence physique.
Si vous courrez après les choses matérielles, si vous courrez après la matière, ultimement la matière vous liera. Lorsque la matière vous aura lié, votre partie d'âme pourra certainement exercer une influence. Comme votre partie d'âme sait que le manque de liberté forme une entrave dans votre êtreté physique, vous aurez à nouveau du stress.
Choisissez le bien supérieur en vous, un bien supérieur dans lequel la matière est précisément ce qu'il est prévu que la matière soit, un instrument d'aide. Mais si vous faites de cet instrument d'aide un instrument principal, vous courrez toujours après ce que vous ne trouverez jamais.
Votre société court après des choses qu'elle ne trouvera jamais et là où seul le stress peut être la résultante.
Ressentez le calme en vous, vivez l'Amour, la Paix et la Lumière. Choisissez des points de repos, choisissez des moments que vous connaissez comme des moments de méditation. Choisissez les moments où vous pouvez réellement être vous-même avec vos prochains.
Si vous abordez autrui à partir de votre calme intérieur, de votre amour, chaleur et lumière intérieurs, vous remarquerez que l'autre le reconnaît, et de cette manière vous pouvez apaiser le stress en vous.
De cette manière vous pouvez faire de la rapidité une rapidité qui vous convient.
Sachez pourtant que si vous continuez dans cette spirale, un moment viendra où la fin de cette spirale sera en vue.
Sachez que le chemin de la rapidité et du stress est un chemin fatal.
Le chemin vers votre intériorité, où la matière devient un instrument d'aide, le chemin vers votre propre lumière, est l'unique chemin que vous devriez pouvoir prendre et où vous pouvez sentir que vous êtes en paix avec vous-même.
La violence gratuite ?
Comme voyez-vous la violence gratuite ?
La violence gratuite est de la violence.
Lorsque nous parlons, lorsque vous parlez de violence gratuite, vous parlez également de violence qui a un sens. Car là où vous parlez de violence gratuite, vous acceptez la violence. Toute forme de violence est une forme inacceptable. Aucune violence n'a de sens. Donc ajouter le mot "gratuite" est superflu.
L'être humain n'a pas été créé, le corps n'a pas été choisi, pour se vivre dans une forme de violence quelle qu'elle soit. La violence est la caractéristique de l'impuissance, de la peur, et de la matérialisation.
Nombreux sur cette Terre, dans votre monde, sont ceux qui ont peur, qui ont perdu leur base, qui ne savent plus qu'ils sont en route vers le niveau de l'âme, qui ne savent plus quel est leur chemin.
Lorsque l'on choisit la sécurité, le territoire que l'on pense pouvoir défendre, on choisit la confirmation de soi, et cette confirmation on la trouve dans la violence générée par l'impuissance. La violence est une impuissante confirmation de soi. Là où l'on souhaite s'attacher à un groupe, à un pays, à un peuple, à un système de croyance, trop souvent on choisit la violence par impuissance.
La violence est une expression de l'impuissance.
Je déplore que les gens, dans une société de personnes comme la vôtre, n'aient pas encore compris que la violence est une action primitive à partir d'une matérialisation extrême et de la peur de perdre cette matérialisation.
J'exprime l'espoir, et aussi la confiance, que vous serez capables, là où ils s'adonnent à la violence, de faire entendre raison aux personnes, à vos prochains, à vous-mêmes, en leur faisant réaliser qu'ils ne font que s'enfoncer dans la spirale de l'impuissance.
La violence, toute violence, est absente de sens. C'est seulement à partir de la compréhension et de l'acceptation de ce que l'on est, de ce que l'on a choisi, et de ce que l'avenir que l'on crée soi-même peut être, que l'on peut atteindre la sécurité dans la connaissance, et que l'on peut renoncer à la peur et l'incertitude qui conduisent à la violence.
Mais si la sécurité qui est en vous tous n'est pas confirmée par vous-même, il y aura continuellement confrontation à sa propre violence et à la violence reflétée dans l'autre.
La violence gratuite est de la violence.
Lorsque nous parlons, lorsque vous parlez de violence gratuite, vous parlez également de violence qui a un sens. Car là où vous parlez de violence gratuite, vous acceptez la violence. Toute forme de violence est une forme inacceptable. Aucune violence n'a de sens. Donc ajouter le mot "gratuite" est superflu.
L'être humain n'a pas été créé, le corps n'a pas été choisi, pour se vivre dans une forme de violence quelle qu'elle soit. La violence est la caractéristique de l'impuissance, de la peur, et de la matérialisation.
Nombreux sur cette Terre, dans votre monde, sont ceux qui ont peur, qui ont perdu leur base, qui ne savent plus qu'ils sont en route vers le niveau de l'âme, qui ne savent plus quel est leur chemin.
Lorsque l'on choisit la sécurité, le territoire que l'on pense pouvoir défendre, on choisit la confirmation de soi, et cette confirmation on la trouve dans la violence générée par l'impuissance. La violence est une impuissante confirmation de soi. Là où l'on souhaite s'attacher à un groupe, à un pays, à un peuple, à un système de croyance, trop souvent on choisit la violence par impuissance.
La violence est une expression de l'impuissance.
Je déplore que les gens, dans une société de personnes comme la vôtre, n'aient pas encore compris que la violence est une action primitive à partir d'une matérialisation extrême et de la peur de perdre cette matérialisation.
J'exprime l'espoir, et aussi la confiance, que vous serez capables, là où ils s'adonnent à la violence, de faire entendre raison aux personnes, à vos prochains, à vous-mêmes, en leur faisant réaliser qu'ils ne font que s'enfoncer dans la spirale de l'impuissance.
La violence, toute violence, est absente de sens. C'est seulement à partir de la compréhension et de l'acceptation de ce que l'on est, de ce que l'on a choisi, et de ce que l'avenir que l'on crée soi-même peut être, que l'on peut atteindre la sécurité dans la connaissance, et que l'on peut renoncer à la peur et l'incertitude qui conduisent à la violence.
Mais si la sécurité qui est en vous tous n'est pas confirmée par vous-même, il y aura continuellement confrontation à sa propre violence et à la violence reflétée dans l'autre.